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  • Pour nous retrouver, il y a également la page Facebook

    http://www.facebook.com/librairielareserve

  • La Nouvelle Réserve à Limay : allons-y !

    nouvelle reserveJ’ai mis du temps à écrire quelque chose (trop occupé!!!), mais cela fait des semaines que je profite de cette nouvelle librairie dans le Mantois…comme client.

    Et à chaque fois je rencontre l’un ou l’autre de nos anciens clients, parfois venu pour la première fois dans ce nouveau lieu.

    Y aller est très simple. On est à 800 mètres de la Collégiale de Mantes, on traverse la Seine. Après le rond-point on prend en face l’avenue qui monte : premier feu rouge à droite et on y est (à côté du marchand de bois Accolet) 5 rue du Maréchal Foch à Limay (un peu plus guerrier que notre avenue Jean Jaurès!).

    reserve_nouvelles_2052015_1

    Faites -vous à votre tour votre opinion. Mais beaucoup d’anciens amis de La Réserve ont trouvé là de nouvelles habitudes, de nouveaux tempéraments et de nouveaux visages (sauf Claire qui était avec nous à Mantes-la-Ville la dernière année. Des livres à acheter et des rencontres avec des auteurs. Et plein d’autres choses.

    Ci joint un article des Nouvelles des 2 rives qui dit assez bien les choses.

     

  • Le site de La Nouvelle Réserve

    IMG_7872Ils ont désormais un site avec pour l’instant essentiellement les renseignements pratiques (pour y aller, commander un livre), et l’agenda des nombreuses activités et rencontres avec des écrivains.

    Et surtout, allez les voir pour acheter et commander des livres!

[Le Fils du printemps], de Cristovao Tezza (éd. Métailié)

Le Fils du printemps, de Cristovao Tezza (éd. Métailié)

filsduprintempsFiction ou grande part autobiographique? Il est légitime de se poser la question  tant l’auteur dépeint avec justesse le ressenti de son personnage (qui d’ailleurs, n’a pas de nom…). On a l’impression d’être en lui, dans ses pensées.

Le héros du roman, un écrivain raté, n’a qu’une hâte: que sa femme accouche de leur fils, leur premier enfant. C’est sans compter le mauvais tour que va lui jouer la vie: cet enfant est atteint du « syndrome de Down », plus connu sous le nom de trisomie 21. Nous sommes dans les années quatre-vingt et le regard des gens vis-à-vis de ce handicap était encore pire qu’à l’heure actuelle.

Il a honte, évite les gens et leurs questions, cache son fils, le rejette et va jusqu’à espérer sa mort. Il imagine le pire, pour eux comme pour lui : il ne parlera jamais, sera assisté toute sa vie pour les moindres tâches.

Doucement, trop peut-être, il apprendra à l’aimer, à l’aider, à avancer.

Sans jamais tomber dans le larmoyant, Cristovao Tezza nous livre un roman poignant sur la paternité et la confrontation à un des drames les plus extrêmes de l’existence.