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  • nouveaux horaires à La Réserve Mantes-la-Ville

    Du mardi au samedi de 9 h 30 à 19 h 30 sans interruption. Feré dimanche et lundi.

  • ESPACE LIBRAIRIE LA RESERVE A EPONE : LE BLOG

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    Hélas La réserve à Epône c’est fini ! La Biocoop continue, bien sûr !

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  • Hélas La réserve à Epône c’est fini ! La Biocoop continue, bien sûr !
  • Marc Dufumier à La Réserve mercredi 14 mars 20 h45

    Sur le bio, l’agriculture, les rapports Nord Sud. Un débat organisé avec la Biocoop du Mantois

Le livre de Dave de Will Self (trad. Robert Davreu, éd. de L’Olivier)

[par Nathalie Goldgrab] Accrochez vos ceintures : turbulences en vue… Décollage immédiat pour le « monde joujouesque » d’un drôle de Gus promu au rang de divinité !

En cuisine de Monica Ali (trad. Isabelle Maillet, éd. Belfond)

[par Marie Fournier]
« En cuisine » est à la fois un polar sombre dénonçant les formes modernes de l’esclavage à Londres et unechronique familiale douce-amère au sein d’une communauté provinciale touchée par le déclin industriel et le racisme ordinaire.C’est aussi plongée jubilatoire dans la fournaise des cuisines d’un palace londonien.

Cadavre exquis, de Pénélope Bagieu (coll. Bayou, éd. Gallimard)

[par Magali Leguy]
BD. Une fable enjouée et pleine de réalisme. Un plaisir pour les yeux et pour le moral !

Le Nazi et le Barbier d’Edgar Hilsenrath (traduit par Sacha Zilberfarb et Jörg Stickan, éd. Attila)

[par Nathalie Goldgrab]
Dans « Le Nazi et le barbier », Hilsenrath adopte un point de vue provocateur : le nazisme et l’Holocauste sont pour la première fois évoqués sous l’angle du bourreau, mais à travers une satire baroque énoncée avec un détachement cru et une ironie mordante. Le personnage principal est grotesque et semble tout droit extrait d’une farce cruelle, une pantalonnade insolente. Le tout servi par une écriture truculente et fantasque.

Meurtre dans un jardin indien, de Vikas Swarup (traduit par Roxane Azimi– ed. Belfond)

Enfin le deuxième roman de Vikas Swarup, auteur des « Fabuleuses aventures d’un indien malchanceux qui devint milliardaire » (devenu « Slumdog millionnaire » au cinéma).

Laitier de nuit d’ Andreï Kourkov (traduit par Paul Lequesne – éd. Liana Levi)

Kourkov utilise le tragicomique et l’absurde pour peindre une Ukraine encore fragilisée par l’ex-URSS et dénoncer toute l’absurdité de ce pays qui ne sait sur quel pied danser. Une fable douce et amère qui a tout pour plaire. Par l’auteur du « Pingouin ».

Siné, 60 ans de dessins, éd. Hoëbeke

Depuis plus de cinquante ans, Siné dessine, de la même manière, se moque toujours des mêmes (flics, curés, militaires), mais surtout de tous les con…formistes. Ah ils le font bien marrer ceux qui, la bouche en cul de poule, se déclarent « politiquement incorrects »! Tu parles, Charles (y compris le Grand, qu’il brocardait dans son journal [...]